Nous voulons retrouver la saveur, la vie des premières communautés chrétiennes, quand les disciples étaient loin de s’imaginer que le christianisme allait devenir une religion d’état.
Aujourd’hui, entre l’Église et le monde moderne, nous sommes un peu comme entre l’arbre et l’écorce, relevant le défi de demeurer critiques de notre Église… et aussi de nous-mêmes.
Nous sommes heureux, dans la ligne de Vatican II, de collaborer au dialogue interreligieux et de travailler à ce que tout être humain vive sa pleine dignité.
« L’Église ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans les religions non chrétiennes. Elle considère avec un respect sincère ces manières d’agir et de vivre, ces règles et ces doctrines. Elle exhorte ses fils pour qu’ils reconnaissent et fassent progresser [ces] valeurs spirituelles, morales et socio-culturelles. »