Soirée spéciale de réconciliation avec les premières nations — mercredi 27 août à 19h30

En lien avec la venue du pape François au Canada cette semaine, nous allons bousculer un peu notre calendrier habituel en organisant une soirée spéciale que nous allons dédier à la réconciliation entre les chrétiens et les premières nations.

Nous vous invitons donc à venir en personne, nombreux et nombreuses, au Relais pour participer à cette soirée de prière avec les chants de Taizé qui aura lieu le mercredi 27 juillet 2022 à 19h30.

L’évangile sera différent de celui de la liturgie habituelle (18e dimanche ordinaire, année C), puisque nous avons sélectionné un passage de Matthieu (5, 20-26) pour souligner l’évènement (ci-dessous).

Le partage autour de l’évangile que nous faisons habituellement sera bien évidemment consacré à cet échange et nous aurons la visite de Suzy Tremblay qui nous invitera par ses chants et sa musique à entrer dans la prière et la méditation.


Évangile de Ieschoua selon le récit de Matthieu (5, 20-26)

En ce temps-là, Iéschoua disait à ses disciples:

20 En effet, je vous le dis:
si la droiture de votre cœur ne surpasse pas
celle des scribes et des Pharisiens,
vous n’entrerez pas dans le règne des cieux.

21 Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens:
Tu ne tueras pas. Celui qui tue sera passible du tribunal.

22 Or, moi, je vous dis: Tout humain en colère
contre son frère, sera passible du tribunal.
Qui dit à son frère: « Racca » [vaurien],
sera passible du sanhédrin.
Qui dit: « Fou », sera passible de la géhenne de feu.

23 Donc, si tu présentes ton offrande sur l’autel et que, là,
tu te rappelles que ton frère a quelque chose contre toi,

24 laisse là ton offrande devant l’autel,
et va d’abord te réconcilier avec ton frère;
et alors viens et présente ton offrande.

25 Hâte-toi de te mettre d’accord avec ton adversaire,
tant que tu es en chemin avec lui,
de crainte que ton adversaire ne te livre au juge,
le juge au garde, et que tu sois jeté en prison.

26 Amen, je te dis: tu ne sortiras de là
que tu n’aies rendu le dernier quart de sou.

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